Mali

Lundi 27 octobre :
Kiffa: après déjeuner, nous continuons en Mauritanie : paysages très variés.
A Tintane, nous avons expérimenté la tôle ondulée pour contourner la route inondée depuis 2 ans.
Fin de notre parcours sur la route de l'Espoir avec les canyons d' 'Ayoûn el 'Atroûs.
Nuit à l'Auberge Saada Sendah à Ayoun.

Mardi 28 octobre :
C'est la nouvelle route! goudron en très bon état, avec peu de circulation.
De nombreux arrêts, plus d'une quinzaine de contrôles de police, gendarmerie et les troupeaux: zébus, chèvres, moutons et ânes têtus!
13h : sortie du territoire mauritanien, sans aucun problème; et un peu plus tard: frontière malienne où les douaniers nous soupçonnaient de vouloir vendre les véhicules au Mali;
2 h et demi de négociations pour les formalités, donc une taxe en raison des heures supplémentaires effectuées par les douaniers.
Nuit dans une auberge à Nioro, avec des chambres en banco décoré.

Mercredi 29 octobre :
445 km pour atteindre Bamako.
Arrivée de nuit, aux heures de pointe, avec une circulation digne d'une métropole africaine.
Traversée du Niger sur le pont des Martyrs.

Jeudi 30 octobre :
Deux nuits étouffantes, en dortoir, sous une tente mauritanienne installée sur la terrasse, chez Niko et Fanny à l'Auberge Djamilla.
Marché artisanal, des sous à la "tirette".

Vendredi 31 octobre :

Départ à 11 h en direction de Ségou.

Samedi 1er novembre :
Belle journée-détente : déplacements en moto-taxi pour visites :

- fabrique de tapis au "point-noué", tenue par des femmes ;

- atelier de bogolan (*) : présentation très pédagogique des techniques de réalisation.

L'après-midi nous avons rejoint un village de potières,

après une heure en pinasse sur le Niger,

avec quelques éclaboussures !.

(*) En langue bambara bogolan signifie littéralement: "le résultat que donne l'argile sur le coton".
Voyez un peu les caravaniers à l'ouvrage et leurs huit travaux :

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